Sonnerie de l’enfer à 1h48 à l’hôtel. Je me suis réveillé en me disant, une alerte amber ici! Non c’est pas ça, une alarme pour le réveil, non plus. Une alarme d’incendie, et oui pourquoi pas. Lyne est déjà habillée dans le corridor et me dit de me dépêcher. Il faut que je trouve mes lunettes, mon linge, la clé de la chambre d’hôtel et que je sorte. Par le petit escalier en colimaçon (la seule porte de sortie) de l’hôtel.
On s’est tous retrouvés dans le hall et nous sommes sorties à l’extérieur pour se soulager les oreilles. J’ai écouté les chants de saoulons d’un bar proche avant de remonter aux chambres.
Quand même ça fait réfléchir.
On a rencontré nos premières gouttes de pluie à la fin de la visite de Versailles. Nous avons pris le bus pour le retour, pas mal toutes les lignes de RER sont en réparation. Dans ma tête j’ai rechanté la chanson des sardines, et j’ai bien ris.
Bye Europe à la prochaine.
